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De A à Z

L’Alchimiste est d’abord un prêtre ; il possède le grand Aleph et la clef de la lance ou Morte épée qui repose sur le tombeau ...
Son langage n’est pas codé car il change de plan lorsqu’il décrit une entité : certains l’appellent la langue des Oiseaux : Trame de laine ou de l’N, Rime en aile, en L, Parterre ou part d’Air, Aether ou He Terre. Là encore, il jongle avec l’élément Air, relié à l’arcane de la quintessence.

Sur le plan géométrique, il dessine des molécules tirées du néant, passant du pentagramme à l’hexagramme, avec l’idée omniprésente de relier les éléments à l’unité.

Il singe donc la Nature, l’observe, la copie, accélère ses processus en commençant par : « LA MATERIA PRIMA » qui est la synthèse des sept esprits planétaires … en appliquant la devise : SOLVE ET COAGULA, avec pour adjuvants Le ou Les Feux secrets ...

Il capte un rayon de lune puis un rayon de soleil, en extrait les deux terres rouges et bleues et les mélange aux sels de l’eau, de la pluie et de la neige pour composer ses électrums ...

Il est surpris par les saisons, observe le cours des fleuves et la croissance des arbres : il sait que l’espèce a sa raison dans l’Athanor du Temps. Le zodiaque quotidien lui montre un chemin inattendu des naissances et des renaissances. Il est le chevalier du temps et de l’instant. En observant, il marque de son sceau le processus naturel ; il devient ce serpent transpercé par une flèche qui perd ses aigles, c’est à dire le temps arrêté par les sept génies planétaires qui donne le sang de pierre rouge d’un soleil incarné.

Aidé par les messagers, teinturier par nécessité, il reçoit le don de Dieu s'il est au fait de son corpus gloriae ...